L’œuvre Paréidolie, le regard des choses se développe en jouant de glissements visuels comme l’on cherche des formes dans les nuages : des fragments de corps rappellent une souche et des branches, des galets prennent les traits de visages humains, de faces animales ou rappellent des formes de l’Histoire de l’art... Mais que nous dit ce passage de l’un à l’autre, cet écho du regard vers la mémoire?
Fabrice Reymond a rédigé un texte qui accompagne ce projet pour en proposer une réponse. Paréidolie, le regard des choses accompagne un lieu où le sens s’élabore d’intuitions, d’hypothèses et de scénarios qui s’ajustent pour produire en dialogue, un assemblage du monde. Dix galets en faïence, copies de certains présentés dans le bâtiment et produits chacun à dix exemplaires complètent ce 1% artistique. Ils sont offerts annuellement, pendant dix ans, aux lauréats d’un programme de recherche de la Maison des Sciences de l’Homme en Bretagne (2020-2030). C’est un don qui marque d’une dimension diffuse cette œuvre pérenne.

Le texte qui accompagne cette proposition :Paréidolie, le regard des choses, Fabrice Reymond

affichette lauréats


Projet lauréat en avril 2019/ Livré juin 2020